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Le sujet de cet article apparaît dans Call of Duty 4: Modern Warfare. Le sujet de cet article existe ou fait référence au monde réel.

Démentiel !
— Jeuxvideo.com
Un plaisir aussi bien pour les yeux que pour les oreilles...
— Jeuxvideo.fr
Une profondeur de jeu sans égal pour un FPS !
— IGN.com

Call of Duty 4: Modern Warfare est un jeu de tir à la première personne sorti en Europe le 9 Novembre 2007. Il est le quatrième jeu de la franchise Call of Duty et le premier de la saga Modern Warfare.

Développé par Infinity Ward et édité par Activision, le jeu fut conçu pour être joué sur les plateformes suivantes:

  • XBOX 360
  • PlayStation 3
  • PC
  • Macintosh

Une version unique existe sur Wii: il s'agit de Call of Duty: Modern Warfare: Édition Réflexes.

Infinity Ward a donné deux suites à ce jeu, créant ainsi la trilogie du spin-off Modern Warfare: Call of Duty: Modern Warfare 2 et Call of Duty: Modern Warfare 3.

Il a été interdit aux moins de 16 ans par le PEGI.

Gameplay[]

Call of Duty 4: Modern Warfare se démarque au niveau du gameplay par rapport aux autres jeux de la série Call of Duty. Il est le premier de la série à ne pas avoir lieu lors de la Seconde Guerre Mondiale. Les développeurs ont insisté sur le scénario de ce jeu, pour faire une mise en scène digne d'un film. En premier lieu, le joueur incarne le Sergent Paul Jackson de la Marine, et plus précisément du 1st Marine Recon et un soldat du 22ème régiment de SAS britanniques, le sergent John "Soap" MacTavish.

Il y a également quelques missions où le joueur peut par exemple jouer le rôle d'un artilleur dans un AC-130, malgré tout il est impossible d'identifier les personnages incarnés lors de ces missions. Enfin, le joueur se retrouve aux commandes de John Price, le supérieur du Sergent MacTavish des SAS, dans un flash-back à Pripyat, en Ukraine.

La sortie de Modern Warfare marque l'apparition d'armes modernes telles que le Barrett .50cal, le C4, etc. Certains modes du Multijoueur ont été repensés, et d'autres ont été inventés pour profiter au maximum de l'expérience du jeu en ligne.

C'est de même le premier Call of Duty à proposer le couteau comme arme de corps à corps.

Trame[]

La traque d'Al-Asad[]

STOP
Cet article ou cette section contient du spoil.
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.


En 2011, Khaled Al-Asad fit débuter un coup d'État dans le Moyen-Orient. Dans le même temps, la Russie fut victime d'une guerre civile faisant rage entre les Ultranationalistes et le gouvernement.

Gaz, membre de l'escouade Bravo Team (équipe Bravo), vint informer son supérieur, le Capitaine John Price, qu'ils accueillaient un nouveau venu: John MacTavish, surnommé "Soap". Ce dernier se rendit au camp d'entraînement des SAS, dans la ville de Credenhill, au Royaume-Uni. Il y passa des tests de de tir et dû ensuite effectuer un parcours d'obstacles après avoir rencontré les autres membres de de l'escouade.

Ils partirent dans la foulée sur la piste d'un cargo estonien sur le Détroit de Béring, qui transporterait un engin nucléaire. Ils infiltrèrent le navire après avoir été déposés par un hélicoptère, mais se firent repérer et durent se battre jusqu'au conteneur où se trouverait le "colis". Le pilote de l'hélicoptère avertit soudainement que des avions de chasse ennemis fonçaient vers le navire, et qu'il fallait fuir au plus vite. Soap prit le manifeste dans le conteneur. Malheureusement il était trop tard : les deux avions avaient frappé le navire de plein fouet. L'équipe Bravo n'avait que quelques minutes pour s'enfuir avant de couler avec le cargo et l'engin nucléaire. Ils réussirent à s'en sortir.

Afin de montrer que sa révolution était sérieuse, Khaled Al-Asad fit enlever le président d'un pays non nommé du Moyen-Orient, Al-Fulani. Il l'exécuta en direct à la télévision.

On confia alors à l'équipe Bravo de se rendre en Russie afin de libérer un contact retenu en otage par les Ultranationalistes. Le Sergent Kamarov, leader d'une escouade de Loyalistes russes, vint appuyer Price et son équipe, permettant à ces derniers de trouver le contact, répondant au nom de code Nikolai.

Le contact était sain et sauf mais il fallait encore partir, et les Ultranationalistes tentèrent de bloquer tous les membres de l'équipe Bravo dans leur progression. L'hélicoptère qui devait les exfiltrer, Hammer 2-6, fut abattu et l'équipe dû continuer à avancer en se battant. Après avoir rejoint une grange, Soap saisit un missile Stinger et détruit l'hélicoptère qui les traquait.

Malheureusement le point d'extraction était encore loin et il fallait traverser quelques villages, quelques terrains vagues de plus. Un AC-130 arriva en soutien. Grâce à ceci, l'équipe Bravo réussit à partir avec Nikolai.

L'exécution d'Al-Fulani provoqua la colère des États-Unis. Le 1st Marine Recon fut envoyé au Moyen-Orient pour retrouver la trace d'Al-Asad. Une équipe fut constituée : le Lieutenant Vasquez devait mener le Sergent-chef Griggs et le soldat Paul Jackson et d'autres hommes à travers une petite ville. Le but de la mission était de trouver Al-Asad qui faisait un discours à la télévision. Or le plateau était situé dans un bâtiment de la ville. Lorsque Jackson, Vasquez et Griggs arrivèrent dans la salle où devait se trouver Al-Asad pour son discours, ils s'aperçurent que ce dernier avait tout enregistré.

On appela alors l'équipe pour sauver un char Abrams, du nom de Sanglier, coincé dans un terrain boueux et assiégé par de très nombreux ennemis. Jackson détruisit un ZPU qui empêchait le soutien aérien du char, ce qui apporta des hélicoptères en renfort. Tandis que des ingénieurs réparaient Sanglier et tentaient de le faire sortir du terrain boueux, l'équipe de Vasquez se mit à différentes positions de défense. L'ennemi était nombreux mais il fallait avancer à travers la ville. Le char soutint l'équipe, qui le ramena sur l'autoroute. Vasquez ordonna à Griggs et aux autres de tenir leur position en attendant qu'il finisse la mission avec Jackson. À la fin, CH-46 Sea Knight vint les exfiltrer.

Il fut décidé une gigantesque opération par les commandants américains : frapper en plein coeur de la capitale du pays afin de la nettoyer des troupes d'Al-Asad et de trouver ce dernier une bonne fois pour toutes. Des centaines de véhicules et 30 000 hommes furent mobilisés. En premier lieu, l'équipe de Vasquez, en hélicoptère, soutenait les troupes au sol, puis vint en aide à une escouade coincée par l'ennemi, et une pilote qui s'était écrasée. Il était temps d'évacuer mais il était trop tard : Al-Asad activa une bombe nucléaire, rayant de la carte la capitale et tuant tous les soldats américains et même ses propres hommes, sans oublier tous les civils. L'hélicoptère dans lequel étaient l'équipe de Vasquez était abattu. Jackson tenta de marcher lentement sur la route, mais n'eut pas la force et s'effondra.

À ce moment-là, Nikolai localisa une planque d'Al-Asad, en Azerbaïjan. L'équipe Bravo arriva dans un village infesté d'hommes d'Al-Asad, et avec l'aide de quelques Loyalistes ainsi que celle d'un hélicoptère. Ils fouillèrent quelques bâtiments avant de trouver Al-Asad dans une grange. Il fut maîtrisé très rapidement par l'équipe Bravo. Son téléphone sonna et Price décrocha. Il découvrit par cet appel que la bombe nucléaire ne venait pas d'Al-Asad, mais d'Imran Zakhaev, le leader suprême des Ultranationalistes. Al-Asad fut immédiatement exécuté par Price.

Monstre du passé[]

Price expliqua alors que, des années en arrière, il était encore Lieutenant. Sous les ordres du Capitaine MacMillan, tous deux furent des experts en matière d'infiltration et constituèrent une équipe de snipers. Leur mission était de tuer ce même Zakhaev, qui vendait des armes suspectées d'être de nature nucléaire. Les deux compères s'étaient frayé un chemin à travers Pripyat, en Ukraine et avaient passé une centaine de soldats ainsi que des blindés sans alerter l'attention, le tout en évitant les zones de radiation.

MacMillan et Price avaient trouvé un angle de tir parfait au dernier étage d'un hôtel de la ville-fantôme. C'était à Price d'avoir l'honneur d'abattre Zakhaev. Lorsque ce dernier était arrivé, il avait commencé à discuter avec l'un de ses "clients". MacMillan avait mit Price en garde, car les conditions climatiques telles que le vent, mais également les effets dus à la balle pouvaient jouer sur la trajectoire, et que si un seul tir était raté, alors toute la mission aurait été un échec. Lorsque le Capitaine l'avait ordonné, Price avait fait feu avec le Barrett de calibre 50. Un tir avec un tel calibre pouvait tuer sur le coup ; Zakhaev s'était effondré alors que son bras avait été littéralement arraché par la puissance du tir.

Ensuite, MacMillan et Price n'avaient pas tardé pas à comprendre qu'ils avaient été repérés. Après que Price avait tiré à travers le cockpit d'un hélicoptère ennemi, ils étaient sortis de l'hôtel en rappel. Après un violent combat contre les renforts venus venger Zakhaev, MacMillan et Price étaient coincés par un hélicoptère ennemi alors qu'ils tentaient de rejoindre le point d'extraction. Ils avaient ouvert le feu et l'hélicoptère s'était écrasé, mais les hélices cassèrent les jambes de MacMillan.

S'il ne pouvait plus se déplacer et que Price devait à chaque fois le porter sur ses épaules, il avait toujours un fusil dans ses mains, pour abattre les ennemis. Une fois arrivés au point d'extraction, six minutes séparaient les deux hommes de la fin du supplice. MacMillan avait ordonné à Price de le déposer en retrait dans l'herbe, d'où il pouvait viser. Price avait ensuite posé des claymores et s'était mit en position. Des vagues d'ennemis successives envahirent la zone où se trouvaient les deux compères, jusqu'à ce qu'un hélicoptère et une équipe alliés ne viennent les chercher.

Au nom du fils[]

Retour en 2011 : huit heures après la mort d'Al-Asad, l'équipe Bravo doit évacuer la zone. Mais les Ultranationalistes reviennent en force, avec de très nombreux hommes et des hélicoptères, sans compter des chars ! Heureusement, les SAS avaient tout prévu.

En premier lieu, l'équipe Bravo se couche sur une corniche avec un angle de vue sur l'ennemi et ouvre le feu pour en éliminer le maximum. Mais des Fumigènes sont utilisés par les Ultranationalistes, et Price est contraint de faire replier ses hommes. Soap se plaça sur un Blackhawk écrasé et en utilisa le minigun pour défendre la colline. Mais de nombreux hélicoptères arrivèrent et une fois de plus, il fut se replier. Une fois dans l'auberge, Soap activa les charges, puis retourna à la grange pour trouver un Javelin et ainsi détruire des chars d'assaut ennemis qui approchaient. In extremis, l'équipe parvint à redescendre la colline dans le sens inverse, aidé par un soutien aérien, et rejoignirent Griggs et les autres dans l'hélicoptère "Gryphon Deux-Sept".

Leur nouvelle cible était dès à présent Zakhaev, qui représentait une grande menace due à l'arme nucléaire en sa possession. Pour le trouver, il fallait frapper fort. C'est ainsi qu'ils localisèrent son fils, Viktor Zakhaev. Une fois sur les lieux, l'équipe Bravo, aidé par les Loyalistes de Kamarov, mirent au point un stratagème : après avoir nettoyé silencieusement un avant-poste russe durant la nuit où le fils de Zakhaev devait passer le lendemain, chacun mit la tenue des ennemis. Au matin, Viktor arriva avec de nombreuses voitures, et l'équipe tenta une embuscade. Mais il le fallait vivant. La tour où se trouvaient Soap et Griggs s'effondra et le fils commença à fuir.

Tandis que Price et les autres repoussaient ses hommes, Viktor entra dans un immeuble avec Soap qui le pourchassait. L'équipe réussit à coincer le fils sur le toit. Il n'y avait nulle part où fuir. Price l'avait en joue, Griggs et Gaz surveillaient l'escalier menant au toit et Soap tenta de le maîtriser pour l'interroger. Mais Viktor Zakhaev se suicida.

Fin de partie[]

Enragé par la mort de son fils, Imran Zakhaev prit le contrôle d'une base de lancement de missiles dans les montagnes. Il menaça les États-Unis de lancer une bombe nucléaire sur leur territoire en représailles. Price décida de mener une opération conjointe entre les SAS et les Marines. Malheureusement, Griggs fut capturé par les Ultranationalistes. Une fois sauvé par l'équipe Bravo, tous commencèrent la prise de la base de lancement, aidé par une équipe de snipers, "Sniper Deux". Soudain, deux missiles nucléaires furent lancés. S'ils atteignaient les États-Unis, cela causerait 41 000 000 de pertes humaines, soit 13,2 % de la population !

Après avoir créé une brèche dans la salle d'opérations, Griggs, Price et Soap s'y infiltrèrent et à l'aide des codes de lancement, détournèrent les missiles russes. Tous se rendirent au dépôt de véhicules retrouver Gaz et utilisèrent des véhicules russes pour fuir.

La menace nucléaire était écartée et les Ultranationalistes n'étaient plus qu'une poignée d'hommes. Mais la bataille était loin d'être finie. Pourchassés par des camions russes, Price, Soap, Griggs et Gaz, seuls survivants, tentèrent de fuir en passant un pont, jusqu'à ce qu'un Hind ne vienne le détruire ! Le véhicule hors d'état, Price et Soap reprirent rapidement connaissance sur le pont en train de s'effondrer. Là encore, tous s'en sortirent de peu. Les russes à l'arrière étaient coincés, mais le Hind les avait en joue. De très nombreux Ultranationalistes arrivèrent. Si l'équipe résista aux forces ennemies dans un ultime effort, le Hind ouvrit le feu et Soap tomba à terre. Il fixa Griggs qui s'était jeté à son chevet, mais une balle l'atteignit au-dessus du cœur et il tomba sur le sol.

Imran Zakhaev était là, accompagné par deux hommes. Price, touché, était près d'une voiture en feu, un M1911 discrètement dans sa main. Zakhaev vit Gaz gisant sur le sol, tentant de se relever et le tua avec son Desert Eagle. À ce moment précis, des hélicoptères Loyalistes russes arrivèrent à la rescousse de l'équipe Bravo. Zakhaev et ses deux hommes ouvrirent le feu dans leur direction. Ceci laissa juste assez de temps pour Price de glisser son M1911 à Soap, avant de ne plus montrer signe de vie. MacTavish, en un chargeur, tua Zakhaev et ses deux hommes. Le Sergent Kamarov et ses hommes arrivèrent. Soap avait survécu, mais un homme était en train de tenter de réanimer le Capitaine Price. C'était (enfin) terminé.

Épilogue[]

Une dernière petite mission en contre-la-montre démarre après les crédits. Une équipe d'hommes inconnue assiège l'avion présidentiel Air Force One en plein vol pour libérer un VIP, probablement le président des États-Unis, retenu en otage par des terroristes. Le personnage incarné par le joueur avance en tuant tout le monde, puis a 3 secondes pour tirer dans la jambe du terroriste retenant le VIP en otage. Une bombe s'amorce, et toute l'équipe, avec le VIP, saute par la porte de l'avion, qui explosera.

Beaucoup pensaient qu'il s'agissait d'un prélude à Call of Duty: Modern Warfare 2, mais l'utilité de cette scène reste inconnue.

Missions[]

Prologue[]

Acte I[]

  • Coupure
  • Charlie ne surfe pas
  • Le marais
  • Traqué
  • La mort vient du ciel
  • Sanglier
  • Choc et effroi
  • Conséquences

Acte II[]

  • Cachette
  • Camouflage
  • Une balle, un mort
  • Enfer
  • Les péchés du père

Acte III[]

  • Ultimatum
  • À l'intérieur
  • Sans combat dans la salle d'ops
  • Fin de la partie

Épilogue[]

  • En plein air

Multijoueur[]

Article détaillé : Multijoueur

Dans le mode Multijoueur de Call of Duty 4, il faut progresser pour acquérir de l'expérience, qui offrira la possibilité d'avoir des armes. Des séries de victimes durant une session en multijoueur donnent des killstreaks qui ne peuvent pas être personnalisés. Voici ceux trouvés dans COD 4 :

  • Avion-espion- trois victimes d'affilée. Permet d'avoir la position des ennemis sur le radar.
  • Frappe aérienne- cinq victimes d'affilée. Permet de déterminer une position sur la carte où lancer un bombardement.
  • Hélicoptère - sept victimes d'affilées. Permet d'appeler un hélicoptère qui décimera l'ennemi

Cartes[]

Armes[]

Remastérisé[]

Call of Duty 4 sera remasterisé sous forme Haute Définition avec le jeu Call of Duty: Infinite Warfare et sortira sur PS4, XBOX ONE et PC sous l'édition "Legacy". Le jeu comprendra le mode campagne ainsi que 10 cartes multijoueurs.

Anecdotes[]

  • C'est le premier Call of Duty à ne pas prendre comme contexte la Seconde Guerre Mondiale.
  • C'est également le premier à avoir un antagoniste principal (Imran Zakhaev).
  • C'est aussi le premier où le couteau est utilisé pour des attaques de mêlée.
  • C'est le premier Call of Duty où les ennemis sont des Russes.
  • Les Ultranationalistes possèdent les mêmes voix, lorsqu'ils meurent ou rampent, que les Allemands dans Call of Duty 2.
  • Avant Modern Warfare 3, les années où se déroulaient se jeu étaient spéculées comme étant 1996 et 2011. Lorsque Price parle de l'accident de Tchernobyl ayant eu lieu en 1986, il dit que MacMillan et lui sont allés en mission dans le secteur "une dizaine d'années plus tard" ; ce qui prouve que les évènements du jeu où MacMillan et Price sont en mission à Pripyat se déroulent en 1996.
  • Le jeu a été interdit dans les pays du Moyen-Orient en raison du fait que le joueur peut tuer des terroristes arabes.
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